Redonner du sens à sa vie

dans un monde qui n'en a plus

Travail sur soi,

chemin vers

Soi

Joël Michalik

Psychopraticien
Formateur

POUR QUI

Nous vivons tous, au cours de notre vie, des moments difficiles, que ce soit sur le plan du couple, de la famille, de la profession, ou encore par rapport à l’image que nous avons de nous-mêmes.

Parfois, nous pensons avoir tout tenté pour résoudre le problème, sans résultat probant ; ou bien nous connaissons la solution mais nous nous sentons incapables de la mettre en pratique ; ou nous sommes dans l'impossibilité de faire un choix.

Il se peut aussi que la crise soit plus existentielle. Nos croyances ne nous portent plus. La vie n’a plus de sens.

Face à tout cela, nous nous sentons démunis et nous éprouvons le besoin de nous faire aider et, pour le moins, être réellement écouté.

Mais comment ?

Client... ou patient ?

La personne qui vient en consultation, dans la grande majorité des cas, n’est pas malade ! Les crises sont des aspects normaux de la vie. Elles peuvent même être considérées comme une véritable opportunité de changement. Le chemin que prend la démarche thérapeutique n’est pas le fait du thérapeute, mais celui de la personne, qu’elle en soit consciente ou non.

Le mot patient rappelle trop la position du malade, qui souffre et qui attend que la libération lui soit donnée par un tiers, le plus souvent issu du corps médical. Dans notre approche, la personne participe toujours activement à la recherche et à la mise en place de la solution.

COMMENT

La Relation d'Aide Centrée sur la Personne

Au sens large, on peut dire que toute relation d’aide psychothérapeutique a pour vocation d’accompagner une personne en situation de crise ou de conflit (avec les autres ou elle-même).

Plus particulièrement, la Relation d’Aide Thérapeutique Centrée sur la Personne, s’inscrivant dans le courant humaniste de la psychothérapie, pose comme principe que l’individu possède en lui les ressources qui lui permettent de faire face aux difficultés de la vie. La crise apparaît lorsque, pour une raison ou une autre, il n’est plus en mesure d’utiliser ces ressources et se laisse alors submerger par ces difficultés. De cette conception découle plusieurs choses :

c’est la personne qui consulte (le « client »), et non le problème qui est au centre de la relation thérapeutique ;
c’est lui qui, souvent inconsciemment, possède la solution ;
le thérapeute n’est pas « celui qui sait » mais celui qui va aider l’autre à s’exprimer, s’observer, se comprendre, se reconnecter à ses ressources, et mettre en place la solution ;
la qualité de la relation entre le thérapeute et le client est primordiale, car c'est elle qui permettra au client de recouvrer la confiance en lui, nécessaire et indispensable pour aller de l’avant.

L’attitude du thérapeute est donc tout aussi importante que ses connaissances de la psyché humaine.

AVEC QUI

Je suis certifié Praticien de la Relation d’Aide Thérapeutique Centrée sur la Personne (Groupe d’Etude Carl Rogers à Paris).
Les praticiens de la relation d’aide sont tenus d’adhérer à un code de déontologie défini par la Fédération Française de Psychothérapie et de Psychanalyse. Le secret professionnel fait partie de leurs obligations et rien de ce qui est dit au cours des séances ne peut être divulgué en-dehors. De plus, ils doivent aussi participer régulièrement à un groupe de supervision. Au milieu de ses pairs et en présence d’un superviseur agréé par le Groupe d’Etude, le praticien est invité à exposer les aspects de son travail qu’il a besoin d’éclairer et de mieux comprendre. C’est un lieu où il peut se ressourcer au contact de ses collègues, s’enrichir de leur expérience, approfondir ses connaissances en vue d’affiner sa pratique.
Par ailleurs, la formation continue est fortement conseillée aux praticiens, car acquérir de nouvelles connaissances et pratiques leur permet de répondre plus efficacement aux demandes des clients. En effet, même si nous semblons parfois vivre des difficultés similaires, nous avons chacun notre histoire personnelle, nous sommes des individus uniques et la porte d’accès qui mène à nous retrouver est différente pour chacun. Certains réagiront mieux à des méthodes de type analytique (les rêves par exemple), ou à des techniques cognitivo-comportementales (par exemple la programmation neuro-linguistique), ou bien à une approche plus humaniste (par exemple l’Approche Centrée sur la Personne) et d’autres encore à des pratiques plus corporelles (Gestalt).
Parallèlement, je suis aussi accompagnant bénévole en soins palliatifs pour l’association ASP-Gard, et à ce titre depuis 2015, j'accompagne des personnes en EHPAD, en milieu hospitalier, ou encore à domicile. Par la suite, l'association m'a également confié l'organisation de la formation initiale des futurs bénévoles, à qui je suis par ailleurs chargé d’enseigner les notions de base de communication et d’écoute active, basées sur l'accueil inconditionnel, l'empathie et l'authenticité.